Yumi Sakuranbo [En cour de modification]

♦♣♥♠ ~ YUMI SAKURANBO ~ ♠♥♣♦

Une fine silhouette, de beaux yeux bleus/verts, une chevelure d'un agréable rosâtre, voici Yumi en quelques mots.
Son teint bien japonais est très pâle. Ce qui nous attire en premier lorsque l'on voit son visage très enfantin, ce sont ses yeux, qu'elle aime particulièrement, de beaux yeux tantôt bleues, tantôt verts, très clairs, en forme d'amande. Du point de vue maquillage? La jeune fille se maquille très peu, elle se contente d'une fine couche de mascara sur ses cils. Par contre, elle aime énormément les gloss, qui lui permettent de mettre ses jolies lèvres en valeur. (Elle en possède d'ailleurs une véritable collection.) Parfois, son joli visage est caché par ses cheveux, cheveux d'une couleur plutôt originale puisqu'ils sont roses.
En général on retient de Yumi sa silhouette plutôt fine. Elle n'est ni trop grande, ni trop petite, environ 1m68, mais elle est beaucoup trop mince pour son âge et sa taille, avec ses 48 kg. C'est en partie de ce fait qu'elle n'a pas beaucoup de poitrine, et s'en voit très complexé bien qu'elle ne le montre pas.
Du côté vestimentaire? Elle ne suis pas de mode en particulier, mais Yumi aime beaucoup porter de fines robes de soie de couleur blanche. Elle apprécie aussi les corsets et tout ce qui peut être ornementé de noeuds papillons. Yumi adore les jolies chaussures bien féminines, pourtant elle apprécie aussi marcher nu-pied. Bizarrement, elle aime aussi beaucoup porter l'uniforme scolaire japonais.

~à venir~

Né d'une mère japonaise et d'un père d'origine inconnue, c'est sur le sol américain que Yumi et son frère jumeaux Halu voient le jour. Les deux enfants passent la première partie de leur enfance dans une école privée catholique aux État-Unis selon les désirs de leur mère Michiyo. Bien que n'ayant pas de père, Yumi avait tout pour être heureuse. Elle venait d'une famille aisée, était plutôt douée à l'école, entretenait de bonnes relations avec sa famille et ses camarades de classe et rien ne semblait pouvoir gâcher ce semblant de vie parfaite. Rien excepté le décès de son frère atteint d'un simple rhume selon les médecins. Sa mère pleine de remords et de tiraillements ne se pardonnait pas la mort de son fils, si bien qu'elle tomba dans une sombre dépression. Dans les semaines qui suivirent, elle perdit son emploi et commença à se réconforter dans l'alcool. Les jours s'écoulèrent ainsi et la situation s'aggrava. La jeune femme ne pouvait pas vivre la mort de son fils sur les épaules. Un triste dimanche de décembre, Michiyo se suicida, devant les yeux lugubres de sa fille. La petite fille fut alors recueillit dans un orphelinat où elle lia une amitié profonde avec une femme de chambre. Malgré son âge -elle avait bien 60 ans- celle-ci était devenue sa confidente, sa meilleure amie, presque un membre de sa famille. A ces 16 ans, l'adolescente dû quitter l'orphelinat. Faute de place, elle et quelques autres orphelins avaient été considérés assez âgés pour se débrouiller par leurs propres moyens. Les au revoirs furent courts, la jeune fille n'avait qu'une seule et unique personne à aller voir. Les deux femmes laissèrent couler quelques larmes. Vint enfin le moment des adieux, la femme de chambre lui remit une lettre.