Hirako Shinji

Shinji est un petit plaisantin. Ajoutant toujours des piques d'humour au situations pour le moins tristes ou graves. Il se fourre souvent dans des histoires grotesques et qui n'ont aucun sens. Shinji n'a pas non plus sa langue dans sa poche et dit souvent ce qu'il pense, comme par exemple quand on conversation l'ennuie, mais ce sera ensuite pour donné des conseils à la personne à qui il parle. Il aime les jolies filles est ne cesse de répéter qu'il est amoureux d'elles, puis finit souvent par ce prendre un coup de Hiyori pour calmé ses hormones. Le jeune homme est aussi très manipulateur, savant trouver les bons arguments pour arriver à ses fins et sa modestie n'a d'égale que sa gentillesse. Il se moque souvent des gens qu'ils soient ennemis ou amis, en particulier Hiyori. Ambitieux dans ses actes, il sait ce qu'il fait, et le fait toujours avec assurance. Bien sûr il peu tout de même être calme et posé. Mais sous ses airs de maladroits comiques, se cache un homme intelligent qui sait réfléchir et prendre les bonnes décisions lorsqu'il le faut. Depuis sa mésaventure il y a cent ans, Shinji est devenu plus méfiant, bien qu'il l'était déjà avant, il l'est juste devenu plus qu'avant. Meneur en tous points, grâce à son expérience en tant que capitaine de la 5ème division, il tient à ses amis et les protègera quoiqu'il arrive. Au combat Shinji est plutôt calme, sérieux et sait garder son sang froid. Il arrive à analyser assez rapidement le terrain et la force de son adversaire en le forçant à l'attaquer ou à ce défendre. Il ne libère son zanpakuto que très rarement ou plutôt met son temps avec de décider qu'il à besoin de son Shikai pour vaincre un ennemi. (Bien qu'ici cette faculté ne lui sera pas d'une très grande aide.) Shinji ne s'énerve que très rarement, même contre un ennemi, sauf si celui-ci atteint ses amis.
Shinji reste tout de même une personne agréable, avec qui l'ont peut parler, bien qu'il ne pourra s'empêcher de faire des remarques.

Shinji est un assez beau garçon. Lorsqu'il était capitaine celui-ci avait les cheveux longs lui tombant au niveaux des hanches, mais depuis qu'il a était exilé de la Soul Society, il se les ai coupé cours. Ses cheveux blonds forment maintenant un carré plongeant débutant à la base de sa nuque et descendent jusqu'à sa mâchoire. Un frange s'arrêtant au niveau, et même un peu plus haut, de ses yeux accompagne le tout. Notre jeune homme possède un visage assez fin, des yeux marrons-ambré, longs et fins. Un petit nez et une bouche fine, mais assez grande car celle-ci à toujours des expression où il affiche ses dents, blanche certes, mais ce petit rictus, qu'il affichait déjà lorsqu'il était shinigami, laisse penser qu'il se moque toujours des gens. Bref son visage descend en point vers le menton. Notre cher vizard laisse aussi entrevoir un persing de forme ronde et de couleur métallique sur sa langue.
Shinji est de taille dirons-nous normal, son corps et fin et laisse entrevoir qu'il n'est pas non plus une planche à pain. Effectivement celui-ci est légèrement musclé comme il le faut. Parmi son corps se trouve ses bras et ses jambes qui sont tout aussi fins et musclé que le reste. Bien que ses jambes paraissent longues il n'en est rien. Et le fait qu'il se tienne presque tout le temps légèrement courbé vers l'avant nous donne l'impression qu'en fait il n'est pas très grand. Ses mains sont quant à elle fines et assez grandes, avec de longs doigts.

Le matin pointé le bout de son nez et déjà Shinji était levé. Assis sur le toit du hangar où séjournait les Vizards, le blondinet observait la petite ville de Karakura encore endormie. Les lampadaires s'éteignaient peu à peu dans les rue de la ville. Tandis que celle des maisons s'allumaient les unes après les autres. Shinji s'était fait à cette ville, calme et paisible, enfin du moins jusqu'à il y a quelques temps. Les Hollow faisaient de plus en plus leur apparition. Mais le jeune homme et ses acolytes ne s'en occupaient guère. Ce Kurosaki Ichigo le faisait très bien tout seul, pourquoi s’entêter à l'aider. Shinji avait aussi appris pour Aizen. Il l'avait su, depuis le début il le savait. Il le savait depuis qu'Aizen était dans le ventre de sa mère. Le prendre comme lieutenant avait confirmé ses sources, mais il s'était fait prendre à son propre jeu et voilà où il en était aujourd'hui. Éxilé de la Soul Society, lui et les autres Vizards.
Shinji leva alors la main et regarda celle-ci, il serra le poing puis le dé-serra et répéta l'opération plusieurs fois. Le pouvoir d'Aizen coulé en lui. Il avait était victime de ses expérience, il avait était un prototype raté. Et malgré ça aujourd'hui ce pouvoir crée par cet être odieux, Shinji ne pourrait se battre sans lui. Qui aurait pu prédire ça. M'enfin tant que ce Aizen ne venait pas ici, cela lui allait.

Le soleil était montée dans le ciel, mais il n'était pas encore midi. Shinji se leva alors, s'étira, puis mis ses mains dans ses poches et sauta du toit délabré. Il atterri par terre avec douceur, soulevant un petit nuage de poussière lorsque ses pieds touchèrent le sol. Les autres étaient encore à l'intérieur ou étaient eux aussi partis dans la ville. C'est ce que le blondinet s’apprêtait à faire. Il allait faire une petite visite à Urahara. Celui qui l'avait, peut-on dire, sauvé. Il était intelligent, c'était un génie, l'inventeur de l'Hogyoku. Il aurait pu avoir un avenir brillant.
Le vizard marchait dans les rue calme de Karakura, les mains dans les poches, regardant de-ci de-là. Marchant encore un peu, il arriva enfin à la boutique d'Urahara. Comme d'habitue la petite camionnette blanche était là. Il s'approcha de la boutique, puis posa la main sur la porte battante et la poussa vers la gauche pour découvrir alors le magasin. Vide. Les lumière était éteinte, même Tessai qui est toujours là à ranger les rayon de la boutique n'était pas là. Il n'y avait âme qui vive. Shinji se dirigea alors vers la porte au fond du magasin puis se dirigea vers un autre porte. Il découvrit une nouvelle fois, une pièce vide. Il se dirigea alors vers le fond de la pièce et souleva un des tatami du fond. Un trou béant s'ouvrit alors, le jeune homme prit alors l'échelle et atterit dans la salle d'entrainement qu'avait fait Urahara. Il marcha alors quelque pas puis repartit s’apercevant une nouvelle fois que l'endroit était désert. Shinji repartit alors vers le hangar, mais d'abord il irait mangé, midi était passé et son ventre criait famine.

De retour au hangar à sa grande stupéfaction, lui aussi était vide. Rien, personne. Bien qu'en temps normal cela ne lui aurait rien fait. Mais là, le magasin de Kisuke et maintenant le hangar. Soudain, le sol se déroba sous lui. Le sol se fissura et Shinji tomba à la renverse dans cet énorme trou noir.
Le jeune homme se cessait de tomber, il faisait noir. Le blondinet ne voyait rien qui puisse l'aider à stopper sa chute interminable. C'est alors qui sentit comme quelque chose sur sa tête, quelque chose qui vint s'écraser contre son crâne avec une telle violence, que Shinji ne put réprimer un cri. Il avait avait et cela ne s'arrêtait pas non plus, puis soudain il ne pensa plus.

Le chant des oiseaux vint réveiller Shinji. Il avait mal à la tête et le chant de ces oiseaux ressemblaient plus à un cri strident plutôt qu'autre chose, ne faisant qu'empirer son mal. Le jeune homme ouvrit les yeux, cilla plusieurs fois. Son regard se perdit alors sur l'étendue azur parsemée de nuages blanc. Le blondinet réalisa alors qu'il était allongé à même le sol. Il se releva alors non s'en peine. Il se retourna dans tous les sens, cherchant un quelconque point de repère. Mais rien. Où était-il ? Que s'était-il passé ? Il ferma alors les yeux, se concentrant pour cherche une quelconque trace de reiatsu, mais encore une fois ce fut un échec. Il rouvrit alors de nouveau les yeux puis soupira. Et c'est alors que son regard croisa un objet qui lui était bien familier. Son zanpakuto était là, sur le sol, inerte. Shinji alla le ramasser et le dégaina, s'assurant que la lame n'était pas ébrécher. Le jeune homme regarda encore une fois les alentour. Mais il n'y avait là que des arbres. Il s’aventura alors dans la forêt, allant de l'avant. Il trouverait sans doute quelque chose une fois sortit de ces bois