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 « Mais un mot de toi pour ma peine, oui Allélouya le vent se lève sur l'enfer, d'où je me promène » [Libre. ]

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2 participants
AuteurMessage
Aiko M. Maeda
~ Elève à l'Université Kanjirô ~
Aiko M. Maeda


Messages : 43
Date d'inscription : 08/07/2012
Age : 30
Localisation : BELGIIIIIIIQUE !

Votre personnage ...
Prénom : Aiko M.
Nom : Maeda
Âge : 19

« Mais un mot de toi pour ma peine, oui Allélouya le vent se lève sur l'enfer, d'où je me promène » [Libre. ] Empty
MessageSujet: « Mais un mot de toi pour ma peine, oui Allélouya le vent se lève sur l'enfer, d'où je me promène » [Libre. ]   « Mais un mot de toi pour ma peine, oui Allélouya le vent se lève sur l'enfer, d'où je me promène » [Libre. ] EmptyLun 16 Juil - 17:53

La rousse regarda la plage : Déserte, ce lieu était désert. Pas une âme qui vive, pas un enfant, pas un adulte qui la regarderait de travers. Il y avait personne. Elle se laissa glisser dans le sable en souriant, et repensa à ce mot : Personne. Etant rousse naturelle, elle possedait un peu trés pâle, dont elle était fière, certe, mais en été, elle passait pour un vampire, et cela l'énerver un peu. En sentant le sable fin sur son dos, elle se mit en position assise, et enleva son haut, ensuite son bas. Elle se retrouva en maillot. La rouquine étala sa serviette, elle sortit " Le haut des Hurle-Vents", la crème solaire, et se mit face à la mer. L'astre du jour refletait tout ses bleus, et autres cicatrices laissaient par son oncle. Avec ses mains, elle se recouvrit de crème solaire, qui lui donnait un air encore plus cadavérique.

La jeune artiste souriait depuis qu'elle était ici : Le vent se montrait de temps en temps, laissant échapper un brise, le bruit des vagues qui deferlaient sur la plage, et le ciel bleu à perte de vue. Elle se sentait bien, en sécurité, apaisée. Sentiments qui venaient que trés rarement, surtout ces temps-ci. Son oncle avait pris ses quartiers chez elle, et lui faisait vivre un véritable enfer. La chance était de son côté comme c'était l'été, elle n'avait pas trop de cours, et les absences répétées qu'elle accumulait ne lui tiendront pas rigeur, ce n'était pas des cours obligatoires. Allongée sur sa serviette de plage, si on oubliait les coups, on aurait pu la prendre pour Ariel, la petite sirène. Le Nobody's Land alentour lui donna envie de lire à haute voix un passage de son livre, qu'elle venait d'ouvrir.


« - Je vais vous dire ce que j'ai fait hier. J'ai fait enlever, par le fossoyeur qui creusait la tombe de Linton, la terre sur son cercueil à elle, et je l'ai ouvert. J'ai cru un instant que j'allais rester là : quand j'ai revu sa figure - c'est encore sa figure ! - le fossoyeur a eu du mal à me faire bouger ; mais il m'a dit que l'air l'altèrerait. Alors, j'ai rendu libre l'un des côtés du cercueil, que j'ai ensuite recouvert ; pas le côté près de Linton [le mari de Catherine, dont Heathcliffe est resté atrocement jaloux], que le diable l'emporte ! Son cercueil, à lui, je voudrais qu'il eût été soudé au plomb. Puis j'ai soudoyé le fossoyeur pour qu'il enlevât ce côté quand je serai couché là, et qu'il fasse subir la même opération à mon cercueil, que je ferai disposer en conséquence. Et alors, quand Linton viendra nous voir, il ne pourra plus s'y reconnaître !

- Vous avez agi d'une façon indigne, Mr Heathcliff !" m'écriai-je. "N'avez-vous pas eu honte de troubler les morts ?

- Je n'ai troublé personne, Nelly, et je me suis procuré à moi-même quelque soulagement. Je vais maintenant me sentir bien mieux ; et vous aurez plus de chances de me maintenir sous terre, quand j'y serai. L'avoir troublée ? Non, c'est elle qui m'a troublé, nuit et jour, pendant dix-huit ans ... sans cesse, sans remords ... jusqu'à la nuit dernière ; et la nuit dernière, j'ai été tranquille. J'ai rêvé que je dormais de mon dernier sommeil à côté d'elle, mon coeur immobile contre le sien et ma joue glacée contre la sienne.

- Et si elle avait été réduite en poussière, ou pis encore, de quoi auriez-vous donc rêvé ?

- Que je me réduisais en poussière avec elle et que j'étais encore plus heureux ! ... »
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Ayumu Aikawa
~ Elève au Lycée Wakuri ~
Ayumu Aikawa


Messages : 15
Date d'inscription : 11/07/2012

Votre personnage ...
Prénom : Ayumu
Nom : Aikawa
Âge : 16 ans

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MessageSujet: Re: « Mais un mot de toi pour ma peine, oui Allélouya le vent se lève sur l'enfer, d'où je me promène » [Libre. ]   « Mais un mot de toi pour ma peine, oui Allélouya le vent se lève sur l'enfer, d'où je me promène » [Libre. ] EmptyJeu 19 Juil - 19:17

La plage... L'endroit rêver pour se détendre jouer s'amuser pleins de chose! Mais surtout ce qui était magnifique c'était quand il y avait le coucher de soleil qui refléter et qui donnait un air doux a la mer. Mais le jour les garçons rêvent de cette plage eh oui les filles en bikini,la poitrine grosse,moyenne ou petite, il y en avait pour tout les goûts. Le sable doux et chaud qui à la couleur du soleil enfin presque mais quand on le prend dans les mains il s'évapore délicatement et te laisse une sensation de douceur entre tes doigts. La plage est un endroit tout simplement charmant il n'y a presque pas de mot pour le décrire.

Ayumu lui voulu se changer les idées, il avait une petite pensé pour Yu. Cette fille angélique qui l'avait ressusciter,malheureusement Ayumu ne vit plus avec elle mais maintenant il vit avec ses deux colocataires. Notre cher jeune homme en avait rencontrer une au parc mais maintenant il fallait voir la deuxième, et se n'était pas une tâche facile.Revenons a notre sujet principal, donc notre cher Ayumu était tranquillement entrain de se promener dans la ville enfin ajourd'hui il allait dans cet endroit qui s'appel....Bah qui s'appel tout simplement la plage.Il traversa la route et fit bien attention cette fois ci, heureusement le bonhomme était vert!Ayumu finit te traverser et comme par hasard le feu du bonhomme revint au rouge. Il rigola et tira la langue au bonhomme rouge en disent:

- AH AH tu ne ma pas eu cette fois-ci!Tu est trop nul euhh!

Je vous rassure le bonhomme était juste un dessin collé dans un petit boitier et bien évidemment faisait la couleur rouge ou verte quand il fallait. On ne peut pas sauver notre cher Ayumu le plus idiot du monde,bref revenons à nos moutons. Ayumu avait pris une
ombrelle a cause qu'il ne supportais le soleil et surtout cette immonde chaleur.Arriver à destination, la plage était complètement...vide. Tant mieux Ayumu adorer les endroits les moins peuplées,mais elle n'était pas totalement vide car il remarqua qu'il y avait une jeune fille plutôt belle et moyenne niveau poitrine qui lisait un extrait de son livre. Je ne m'imagine même pas la suite j'ai pas envie de la lire pour vous emmerder. Bon d'accord je continu, eh bien logiquement notre cher Ayumu allait vers cette jeune fille et s'installa à côté d'elle.IL l'a regarda puis lui sourit en disent:

- Bonjour jeune fille,vous vous ennuyez pas trop toute seule?Enfin moi je dis sa mais je dis rien.
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